La peine de mort crée de nouvelles victimes. Non seulement les condamnations à mort ne soulagent pas les proches des victimes du crime, mais elles étendent en plus la souffrance et le traumatisme aux familles des condamné·e·s à mort, ainsi qu’aux juré·e·s, avocat·e·s, magistrat·e·s, etc, impliqué·e·s dans la situation.