
Mon engagement pour l’abolitionnisme remonte à 2008, lorsque je tombe sur un article de presse qui parle de Troy Davis, condamné à mort en Géorgie. Il a appris, seulement deux heures avant l’heure prévue de son exécution, qu’il allait bénéficier d’un sursis d’exécution. J’ai trouvé qu’infliger à quelqu’un l’attente de la mort, le temps qui défile et la détresse psychologique, était absolument inhumain. Finalement, il a été exécuté plus tard alors qu’il avait toujours clamé son innocence.